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1ère édition de la semaine de la chaleur renouvelable

Collectivités, inscrivez-vous à la semaine de la chaleur renouvelable
3 jours pour s’engager dans la transition énergétique
Vous vous interrogez sur les atouts et la compétitivité des énergies renouvelables thermiques, les différentes technologies mobilisables pour concrétiser un projet sur votre territoire ?

Vous souhaitez faire des économies d’énergie et mettre en place un mode de chauffage au bénéfice des usagers et porteur d’emplois locaux et pérennes ? Les solutions de chaleur renouvelable locales, mobilisées in situ ou via un réseau de chaleur ou de froid, sont aujourd’hui largement reconnues : bois-énergie, énergie des déchets, géothermie, chaleur de récupération, chaleur solaire, biogaz. Les installations peuvent par ailleurs bénéficier de financements.

Rejoignez-nous les 4, 5 et 6 décembre 2018 lors de la Semaine de la chaleur renouvelable afin de découvrir comment, grâce à ces filières d’avenir, s’engager concrètement dans la transition énergétique de notre pays.

Appel à projets ADEME «Investissements d’Avenir – Réseaux Energétiques Optimisés»

L’ADEME vient de faire paraître un nouvel appel à projet « Investissement d’Avenir » !

Il vise à financer des innovations, des démonstrateurs et des expérimentations pré-industrielles.

Ce nouvel appel à projet de l’ADEME s’intéresse à des solutions d’optimisation des réseaux énergétiques (électrique, chaleur, froid, gaz). A ce titre, il vise à promouvoir le développement de solutions innovantes de gestion et de régulation de ces réseaux, de leurs composants, des données qui en sont issues, ainsi que des éventuelles interactions et interfaces entre eux ou avec les sources de production en amont et les usages en aval par tous types de consommateurs.

 


Retrouvez l’appel à projet détaillé sur le site de l’ADEME :

Ainsi qu’un résumé sur le site du CEREMA :

Actualisation du scénario énergie-climat 2035-2050 de l’ADEME

Source : presse.ademe.fr

L’ADEME vient d’actualiser son scénario énergie-climat 2035-2050. Celle-ci vise à souligner les efforts qui devront être faits d’ici 2035 afin de permettre la réalisation des objectifs pour 2050, à savoir la réduction des émissions des gaz à effet de serre et de la consommation d’énergie finale.

Cette actualisation intervient en période de révision de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) et de la programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE).

Fonds chaleur : évolution des aides et prise en compte de la densification

Source : www.ademe.fr

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Le fonds chaleur est un dispositif de soutien financier aux projets de chaleur renouvelable, créé en 2009. Les réseaux de chaleur peuvent bénéficier du fonds chaleur, sous certaines conditions (…). Voir notre article « Fonds chaleur et réseaux de chaleur« .

L’ADEME, qui gère ce fonds chaleur, ajoute une aide pour la densification afin d’aider au raccordement des bâtiments situés à proximité d’un réseau de chaleur.

Les principaux critères sont les suivants:

  • Le réseau devra être alimenté par plus de 50% d’EnR&R et les raccordements être alimentés par une production supplémentaire d’au moins 50% d’EnR&R (sauf pour les réseaux à 70% d’EnR&R : la production supplémentaire devra être à 25% min. d’EnR&R) ;

 

  • L’opération de densification portera sur un programme de 5 années d’investissement maximum et sur une densification de 200ml de tranchée cumulée au minimum.

 

  • La demande devra être appuyée par un schéma directeur ou une étude de faisabilité à l’échelle du réseau et être portée par une stratégie commerciale et technique.

 

  • Il faudra expliquer les mécanismes de répercutions prévus des bénéficies financiers de la densification auprès des abonnés

D’autres modifications ont fait leur apparition également en mai 2016, se traduisant globalement par une augmentation des aides.

Le fonds chaleur doit doubler d’ici 2017 et ces évolutions permettront d’asseoir l’équilibre économique de nouveaux projets, dans un contexte difficile où le prix des énergies fossiles reste bas.

Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter les fiches suivantes, extraites du site www.ademe.fr :

 

Nouvelle édition des « Chiffres-clés Déchets » 2015 par l’ADEME

Un nouveau rapport qui s’inscrit dans un contexte politique et réglementaire dynamique, se renforçant régulièrement depuis 2008.

L’année 2015 a vu l’adoption de deux projets de loi. D’abord, la « loi NOTRe » qui permet aux régions d’étendre leur champ de compétences en matière de prévention et de gestion des déchets par l’adoption d’un plan régional unique. Ainsi que la « loi de Transition énergétique pour la croissance verte » qui tend à modifier le modèle économique linéaire grâce à la promotion de l’économie circulaire.

Pour en assurer la mise en œuvre, la politique déchet s’appuie sur la réglementation communautaire (art. 29 de la directive 2008/98/CE). C’est ainsi qu’a été adopté en août 2014 un programme de prévention des déchets. Il vient amorcer la rupture progressive entre croissance économique et production de déchets. En ayant pour objectif l’année 2020, ce programme s’appuie sur des leviers importants tels que la baisse de 7 % du gisement de Déchets ménagers et assimilés par rapport à l’année 2010 et la stabilisation des déchets d’activité.

Malgré le caractère transitoire qui lui est affecté, cette filière de traitement est à privilégier face à la mis en décharge. Cependant, son développement ne doit pas être un frein à la prévention et au recyclage des déchets. Le plan prévoit ainsi l’encadrement des refus de tri au pouvoir calorifique intéressant. Ces combustibles solides de récupération (CSR) ne pourront être utilisés qu’à des fins de production d’énergie thermique (dont réseaux de chaleur). De plus, il devra être démontré que les centrales ne dépendent pas uniquement des CSR pour fonctionner mais également de combustibles « classiques ». Enfin, à l’horizon 2025, le plan prévoit un maintien à niveau équivalent des capacités d’incinération nationale. Cette limitation du parc d’installations favorisera la modernisation des installations existantes. Les incinérateurs devront alors atteindre un seuil de performance correspondant à de la valorisation énergétique (seuil « R1 »).

Des filières de valorisation énergétique en croissance…

Ce rapport de l’ADEME fait ressortir de grandes tendances :

  • 345 millions de tonnes de déchets ont été produits en France. Avec 10 millions de tonnes de moins qu’en 2010, cette baisse est issue principalement du ralentissement du secteur de la construction.
  • 42 millions d’habitants sont couverts par un programme local de prévention des déchets en 2014.
  • 37,6 millions de tonnes de déchets ménagers et assimilés collectés par le service public de gestion des déchets en 2013.
  • 47,7 millions de tonnes de déchets envoyés vers les installations de traitement des déchets ménagers et assimilés en 2012.
  • 17,9 millions de tonnes de matériaux recyclés utilisés.
  • au 01/01/2014 ce sont 150 collectivités qui appliquent des règles de tarification incitative pour 3,5 millions d’habitants desservis.

Dès lors, le rapport fait un point à l’année 2012 de la production d’énergie à partir des déchets. Cette même année, c’est donc un gisement croissant de 14,2 millions de tonnes de déchets non dangereux et non minéraux qui ont été incinérés avec récupération d’énergie.

Avec 2500 ktep (kilotonne équivalent pétrole) en 2013, le gisement de déchets urbains reste la principale source de production primaire d’énergie face à la valorisation du biogaz.

Les déchets urbains sont principalement valorisés via les 113 unités d’incinération d’ordures ménagères (UIOM) implantées sur le territoire national. Avec presque la moitié de la production énergétique totale en 2014, la production thermique reste la filière de valorisation la plus importante. La production électrique augmente, s’appuyant notamment sur le développement de la cogénération.

Enfin, au niveau européen, les 32 % de déchets municipaux produits en France et valorisés énergétiquement, lui confèrent une place supérieure à la moyenne européenne.

En savoir plus :

Rendez-vous: Assises des EnR&R en milieu urbain

Assises_EnR2015

Paris accueille cette année la 21ème conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21). L’édition 2015 des Assises des énergies renouvelables en milieu urbain sera une vitrine de l’exemplarité et du savoir-faire franciliens en matière de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique.

Si vous vous posez ces questions, la 6ème édition des Assises des énergies renouvelables et de récupération en milieu urbain est faite pour vous.

La rencontre des acteurs franciliens se déroulera le Mardi 22 septembre 2015 après-midi.

Comme chaque année, la DRIEE et l’ADEME Île-de-France vous invitent aux Assises des énergies renouvelables et de récupération en milieu urbain pour approfondir l’actualité régionale du chauffage urbain, priorité de la transition énergétique francilienne, et partager le retours d’expérience de collectivités et des professionnels qui ont ainsi fait ce choix de la croissance verte.

Cette nouvelle édition propose une nouvelle formule avec deux ateliers:

  • la gouvernance locale des réseaux de chaleur et de froid dans le contexte de la nouvelle organisation territoriale
  • la mobilisation et la valorisation des ressources locales (chaleur fatale, géothermie de minime importance, biomasse)

Vous disposerez ainsi d’exemples d’opérations concrètes et de bonnes pratiques qui pourront orienter et susciter les projets.

Journée technique Bois-énergie et chauffage urbain – 3 juillet 2015

Source : Netbois

Journée technique - DijonLe Comité Interprofessionnel du Bois-Energie (CIBE), avec le soutien de l’ADEME, organise une journée technique

 « Bois-énergie et chauffage urbain – Une opportunité pour la création, l’extension et l’interconnexion de réseaux »

Vendredi 3 juillet à Dijon

Cette journée sera organisée autour de trois axes majeurs :

  • les bonnes pratiques (conception, construction, exploitation, suivi, optimisation)
  • les aspects économiques (prix de la chaleur, aides)
  • les retours d’expérience régional et dijonnais

Cette rencontre sera l’occasion d’échanger autour d’éléments-clés indispensables à la réussite d’un projet de réseau de chaleur au bois.

Que vous soyez une collectivité locale, un bureau d’étude, un opérateur énergétique, une structure d’animation bois-énergie… vous trouverez au cours de cette journée de nombreuses informations qui vous permettront de mieux appréhender l’intérêt et les possibilités d’utilisation du bois lors de la création ou du développement d’un réseau.

Tarifs des frais d’inscription :

  • 65 euros nets de taxes pour les adhérents du CIBE
  • 98 euros nets de taxes pour les non-adhérentsDate-limite d’inscription : le 26 juin 2015

Cliquez ici pour accéder au bulletin d’inscription en ligne.

Pour en savoir plus :  www.netbois.com

Appel à projets ADEME Ile-de-France : réseaux de chaleur, biomasse, géothermie

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La direction régionale Ile-de-France de l’ADEME et la région Ile-de-France lancent 3 appels à projets pour le développement de réseaux de chaleur, de chaufferies biomasse et d’installations de géothermie profonde.

Appel à projets Île-de-France – Réseaux de Chaleur – 2015
Date limite de réception des dossiers :
17 décembre 2014 à 15 h 30.

 

Appel à projets Île-de-France – Géothermie profonde – 2015
Date limite de réception des dossiers :
17 décembre 2014 à 16 h.

 

Appel à projets Île-de-France – Chaufferie Biomasse – 2015
Date limite de réception des dossiers :
17 décembre 2014 à 16 h.

Voir aussi :

Appel à projets de l’ADEME « Nouvelles Technologies Emergentes » Edition 2015

https://appelsaprojets.ademe.fr/_rsc/dma/etablissement_logo_petit.pngL’ADEME vient de lancer l’édition 2015 de son appel à projets dédié aux « Nouvelles Technologies Emergentes ».

Certaines technologies innovantes développées récemment pour le marché à une échelle industrielle voire quasi industrielle, mais pas encore diffusées à grande échelle, en France ou à l’étranger, restent non éligibles au Fonds Chaleur par manque notamment de retours d’expériences suffisants sur leurs performances réelles in-situ.

Par conséquent, à travers cet appel à projets renouvelé, l’ADEME souhaite accompagner certaines opérations « pilotes » monitorées de manière détaillée, dans la perspective de bénéficier d’analyses fines et consolidées pour progresser sur la connaissance de ces technologies en devenir.

Ainsi, les projets sélectionnés par l’ADEME dans le cadre de cet appel à projets, doivent permettre d’évaluer la pertinence d’aider à des fins d’expérimentation quelques projets exemplaires jugés efficients tant sur le plan énergétique, économique qu’environnemental. L’analyse détaillée du suivi permettra d’évaluer les arguments permettant le déploiement à grande échelle de nouveaux systèmes énergétiques.

Les projets attendus à l’AAP NTE 2015 concernent notamment :

  • la géothermie :
    • installations de pompe à chaleur (PAC) décentralisées sur boucle d’eau tempérée (sur eau usées, eau de mer ou eaux de surface, sur champ de sondes géothermiques ou sur aquifère)
    • installations de fondations thermoactives enterrées comme vecteur de prélèvement de l’énergie du sous-sol, ou « géostructures » (pieux, parois, parking souterrain d’un immeuble, tunnels de métro,…).
  • les réseaux de chaleur :
    • systèmes géothermiques et/ou systèmes solaires thermiques « centralisés » ou « décentralisés », avec ou sans stockage thermique par hydro-accumulation, couplés à un réseau de chaleur basse température
    • systèmes « 4 tubes » alimentés par la production simultanée de chaud et de froid d’une thermofrigopompe géothermique, ou d’une PAC eau/eau en montage thermofrigopompe.
  • l’amélioration de l’efficacité énergétique des systèmes :
    • récupération d’énergie fatale par une PAC à ab(ad)sorption pour une production d’eau glacée alimentant un réseau de froid
    • solutions de rafraîchissement direct par « geo-cooling » (priorité donnée aux Data Center, en privilégiant la conception énergétique, par exemple, free-cooling et efficacité des éléments actifs, avant d’envisager une récupération de chaleur ou un traitement actif de froid)
    • installations de systèmes innovants (ensemble hydraulique couplé à des sondes géothermiques verticales, échangeur de canalisation pour récupération simultanée d’énergie avec le sol,…) permettant la gestion optimisée d’un process de production chaud et/ou froid avec éléments de récupération d’énergie et l’intégration d’une ressource d’énergie renouvelable ou de récupération (ENR&R) pour un taux de pénétration à minima de 50 %.

Date limite de dépôt des dossiers pour cet appel organisé en 2 vagues :

  • avant le 13 février 2015 à 16h00 pour une convention d’aide réalisée et notifiée avant la fin du deuxième trimestre 2015
  • avant le 17 juillet 2015 à 16h00 pour une convention d’aide réalisée et notifiée avant la fin du quatrième trimestre 2015.

En savoir plus : ADEME

Module d’information « L’élu et les réseaux de chaleur en Ile-de-France »

l'élu et les réseaux de chaleurL’ARENE et Amorce, en partenariat avec l’Ademe organisent une demi journée d’information « L’élu et les réseaux de chaleur » le vendredi 21 novembre 2014 de 9h30 à 12h30 à l’ARENE, à la Cité régionale de l’environnement d’Île-de-France à Pantin.

 Cet évènement francilien sera l’occasion pour les élus de prendre connaissance des éléments essentiels sur les réseaux de chaleur avec les acteurs impliqués sur le sujet localement (ARENE, ADEME Île-de-France, Région Île-de-France, DRIEE Île-de-France) et avec le réseau national AMORCE qui fédère les collectivités notamment sur les réseaux de chaleur.

 Vous pourrez y bénéficier d’un rappel complet sur le fonctionnement de ce service public local, ses modes de gestion, les liens avec l’urbanisme et la précarité énergétique, la relation avec les abonnés et usagers, les outils financiers et les subventions.

 Il existe de forts enjeux sur les réseaux de chaleur en France et particulièrement en Île-de-France : plus de 450 000 logements doivent être raccordés à un réseau de chaleur d’ici à 2020 et les réseaux devront être alimentés à plus de 50% par des énergies renouvelables et de récupération, sources d’activité économique locale et atout précieux pour la maîtrise des factures de chauffage. Les travaux menés à ce sujet au niveau régional seront présentés pour mettre en évidence les territoires où les enjeux sont particulièrement importants et les aides qui existent pour les collectivités.

Les inscriptions se font ici

Consultez le programme détaillé ici